Ceux qui me connaissent bien savent que je mange lentement (c'est mon secret pour être belle, vous voyez?). Enfant, je mangeais encore plus lentement. Je prenais donc mon temps pour déguster ma galette, pour être certaine de ne pas rater la «bine» (car je sentais que j'allais l'avoir). Pendant ce temps, les rois et reines des autres équipes étaient couronnés, un à un. J'ai alors dû accélérer mon grignotage, car on a commencé à ramasser les verres et les plateaux. Certaines équipes commençaient même à quitter.
Puis, j'ai crié: «Je l'aie!» C'est moi qui avais la «bine», c'était moi la reine! (Ce n'était plus vraiment une surprise; il n'y avait que moi qui mangeais encore.) ;)
Le 6 janvier, toutes les pâtisseries vendaient le Dreikönigskuchen (le gâteau des trois rois). Il est différent de la galette des rois française, que je connais grâce à Roule galette, une histoire de la collection Père Castor chez Flammarion. En Suisse, il s'agit d'une couronne de brioches aux raisins. Francis en a ramené une et nous nous sommes prêtés au jeu. C'est lui qui a gagné!
Je vous présente donc Francis 1er:
Et il a bien accepté de prêter sa couronne:
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La «bine» qui l'a consacré roi. |
Ô! Quel sceptre mirifique!
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Ô! Merci! Je me demandais si quelqu'un allait le remarquer... ;)
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